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M'enfin?!

27 juin 2014

Dans l'esprit je fais ce que j'aime sans attendre

Dans l'esprit je fais ce que j'aime sans attendre les conditions idéales, je publie quelques photos, ça y est j'aime ça et je le fais même si je n'ai pas le super appareil dont je rêve. 

voilà une scène que j'adore car peu degens identifie ce que c'est, je laisse libre court à votre imagination; 

DSC_1259[1]

Et un flouté pas fait exprès que j'adore 

DSC_1089[1]

 

Allez, à bientôt 

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27 juin 2014

Quand il faut se lancer

Woaw.

Ne me jugez pas mais j'adore toutes ces émissions où les gens changent leur vie. J'écoutais d'une oreille distraite le parcours d'une personne en situation d'obésité morbide qui avait de grosses difficultés à suivre son programme et j'ai été frappé par ses conclusions:

On ne peut pas attendre que sa vie soit parfaite pour être heureux(se). Il faut se lancer pour se qu'on veut aujourd'hui.Vivre réellement et de façon à ce que le voyage constitue le bonheur et non pas les 4 moments fugaces où  toutes les conditions qu'on s'imposent pour être heureux soient alignés sous le même ciel étoilé.  

Non, une maison mal rangée n'est pas une excuse pour ne pas aller faire du sport. Non ne pas avoir les escarpins ne sont pas une raison pour ne pas aller danser. Ne pas avoir de sous n'est pas une raison pour ne pas sortir. Faisons des activités gratuites! Mon préféré : ne pas avoir de raison particulière n'est pas une une raison pour se négliger. 

J'ai pas mal de choses à faire mais je me mets seul des bâtons dans les roues avec des considérations financières et sociales idiotes. Mais je trouve du courage pour me mettre à la tâche. 

Comme quoi parfois, aller chercher bonheur ou être heureux demande plus de courage que de stagner ou s'enterrer dans sa routine. Le plus drôle c'est que souvent l'entourage n'est jamais très positif quand on entreprend un nouveau process, mais au final mes amis m'ont encouragés, même si certains étaient perplexes, ils m'ont encouragés. 

Du coup je sais qu'il y a une chose que j'ai déja très bien fait: le choix de mes amis. Merci beaucoups les gars!

2 avril 2014

Quand le paon perd ses couleurs

Je suis en colère!
J'ai passé beaucoups de temps avec ma famille à rigoler de la grosse tendance jalouse d'une copine d'un de mes frères.

Des conversations ont lieu avec elle pour lui faire comprendre de que cela est malsain et qu'il faut avoir confiance sans quoi l'objet de ses désirs finira par étouffer et s'en aller.

Finalement il s'avère que ma famille lui avait enfait imposé de changer sa façon de s'habiller et de se comporter pour rentrer dans leurs standart de normalité. On est en effet plutôt classique et rieurs et elle est plus super sexy et sérieuse. 

Là c'est une grosse déception pour moi, en tant que femme, s'habiller "trop" sexy pour moi s'apparente à une insécurité qui peut être très diverse, c'est pourquoi je n'en ajoute pas en jugeant et critiquant. J'ai pu observer des amies qui en général en prenant confiance en elles, ne ressentent plus le besoin d'attirer autant le regard et se "calment" un peu.

Alors de savoir qu'on l'a forcée a abandonner sa "trop sexyness" ce que j'apparente à un moyen de se rassurer en attirant le regard des hommes, et qui constituait toute son identité, et ensuite on s'est moqué d'elle parce qu'elle n'avait pas confiance en elle et donc en son couple....

Forcer quelqun a se confronter à un complexe et se moquer ensuite de son manque de confiance en elle. 

WTF! 

I'm so maaad. 

30 mars 2014

Procrastination et autres auto-sabotages

Parfois je me réveille comme d'un rêve. Je suis de sortie avec des amis et tout d'un coup, je réalise que je ne parle pas, je suis dans mes pensées, j'ai du mal à me rapeller de ce dont on parlait les minutes d'avant.

Tout d'un coups j'ai un sursaut, vite! Réintégrer mon personnage, retrouver le sourire et garder les apparences jusqu'à se qu'on se sépare.

Je ne suis pas où je devrais être. Selon mon cadre, mon schéma une étape devrait être franchie et elle ne l'est pas. ça me ronge, mais il n'y a rien que je puisse faire.

Bon ben ça n'est pas vrai il n'y a que moi qui puisse faire quelque chose mais je ne peux pas. Enfin je peux je le fais mais douuuuucement. Je procrastine. Je mets du temps à faire les choses les plus simples, le temps défile, l'entourage questionne, ça énerve beaucoups.

C'est pas de la mauvaise volonté ni de la paresse, je pense que j'essaie d'enlever le poids de l'importance de ces étapes en prenant mon temps. Si ce n'est pas urgent, c'est moins stressant. Mais en faisant cela je retarde les échéances et je ne me rapproche pas de mon but.

En plus de tout ça, je refuse de programmer quoi que se soit d'autre pour me consacrer pleinement à mes objectifs. Finalement je passe mon temps à m'en vouloir, j'augmente la pression en m'interdisant toute distraction et je n'avance pas mieux.

Procrastiner n'est pas drôle. Je peux vous l'assurer. En plus de tout ça, on s'empêche de demander de l'aide, puisqu'il s'agit juste de faire ce qu'on a à faire, c'est simple.... Qu'est ce qu'un tiers peut faire pour nous? C'est notre travail à accomplir. J'ai beaucoup jugé certaines personnes pour leur passivité, c'est un beau retour de bâton dis donc.

On veut se sortir de cette situation par nos propres moyens et trouver une espèce de déclencheur qui va nous lancer. On se raccroche à toute sorte de proverbes et de paroles, on devient philosophe, la pression extérieur semble plus forte, l'entourage s'interroge... Pourquoi ça n'avance pas? Ces demandes ne sont meme plus formulées un simple "quoi de neuf" et on se sent jugé.

Ma mère est intelligente et elle me connaît, elle ne pose plus de question et attend que j'en parle. Elle sait que je procrastine. Je sais qu'elle sait que je procarastine, ce n'est pas la première fois et la dernière fois je m'en suis sortie seule. Je suis reconnaissante de sa discrétion, pourtant une partie de moi lui en veux un peu. Evidemment!...  j'ai bien envie de rejeter la faute sur quelqu'un d'autre.

En réalité je sais qu'elle me fait confiance ou peut être qu'elle sait ne peut pas être celle qui pourra m'aider. Je ne sais pas si j'irais chercher de l'aide cette fois çi.

C'est tellement frustrant de savoir ce dont on souffre et pourquoi. A partir de là, ça devrait aller mieux. Mais quand ce n'est pas le cas quoi faire de plus? Mouai être son propre bourreau c'est pas si simple.

Allez, ça fait du bien de se livrer! A bientôt

 

 

 

12 mars 2014

"Mais madame! Vous avez 14 enfants ?!"

Premiers mots dans ce journal, bienvenue à tous et à moi même ;-)

Non! je n'ai pas 14 enfants, ça aurait cependant été une curiosité rafraissante dans ce monde parfois si pingre! Ceci est une réplique phare de l'excellent Emmanuel Emile, et sa consoeur de lui répondre: "Oui, j'ai 14 enfants! Qu'est ce que ça peut vous faire? Ca vous gêne?".

Franchement? Ben oui, ça nous gêne... Tu te rends compte! 14 enfants? ...

On se lance en général tête baissée dans le jugement (si si, allez soyez honnêtes), et on s'imagine déjà la scène:
Des enfants en majorité entre 12 et 1 ans, dans un 50 m², en train de brailler et de courir partout. La mère probablement dépassée, fatiguée à la maison attend désespérement l'heure du coucher qui apportera la délivrance et ce silence relatif, entrecoupé de chuchotements et d'éclats de rire.
Au début... ça énerve! "qui fait autant d'enfants encore en 2014? C'est ce genre de personne qui met en péril la planète". Si si j'ai entendu ça déjà!  Après on se prend de pitié pour la pauvre mère (sûrement soumise et malheureuse), et enfin un léger amusement dans la voix : "t'imagines un peu le bordel que ça doit être"!! Je ne rentrerais même pas dans les clichés ethniques divers qui peuvent assaillir certains cerveaux... Bon, beaucoups de cerveaux, différents selon les personnes.

Pourtant, il pourrait y avoir une centaine de vérités pour cette famille: Imaginons une famille à la campagne, heureuse, je l'imagine en plus assez aisée pour bien casser le mythe. Les parents aiment beaucoup les enfants, et ils avaient les moyens. La vie leur a fait 14 fois plaisir. Voilà...

Qui réfléchit comme ça?... Pas grand monde, pas même moi. Je déplore l'importance du jugement sur la perception des autres et de notre entourage. Parfois je m'étonne de l'énervement que peut apporter une situations simplement à cause du jugement qu'on porte sur celle çi. On prête des intentions aux paroles ou aux attitudes, on peut avoir tord, m'enfin dans le doute, on ressasse quand même.

Ca se ressent parfois assez intensément dans les villes cosmopolites ou la même parole peut être neutre pour certains et génante pour d'autres.

Alors que peut on faire pour le bien des peuples et  la vie en communauté? Oublier tous nos jugements? Ca reviendrait pratiquement à dire qu'il faut oublier nos coutumes et nos cultures. En effaçant les particularité de chacun, et en adoptant tous un comportement neutre serait-on plus heureux?

Mouais... ptèt pas obligé d'aller à l'extrème comme ça, je pense par contre qu'en communiquant davantage et en comprenant mieux ce que tout en chacun essaie de faire passer et quand même en mettant un bon coups de frein sur notre capacité à juger tout le monde, Nous devrions être plus heureux.

Dans cet esprit, je vais essayer de regarder avec des yeux neutres et aimants une série de télé-réalité, ça devrait être un exercice très intense .

Ouf, Confucius sort de ce corps... Allez à bientôt!

 

 

 

 

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